Bien que le référendum populaire fût la base de la démocratie, nos élus l’utilisent uniquement aux fins de leur élection, pour les mettre ensuite aux oubliettes et ainsi faire passer lois et amendements sans consulter les citoyens dans le seul but de renforcer leur pouvoir et consolider leurs intérêts personnels et partisans.
Avec l’évolution technologique et sociale, ce système, vieux de quelques millénaires, doit être revu et inclure, au sein de son fonctionnement, la consultation citoyenne en tant qu’organe d’apaisement aux violences socioéconomiques.
Nos élus se méfient, alors que « ciel sans nuages ne craint pas l’orage ».
Leur mandat est parsemé de fautes, volontaires ou non. Ils n’ont pas l’honnêteté de les avouer et par crainte de perdre leur électorat, ils persistent à cacher leurs lacunes (gaffes).
Il se peut que certains referendums aient eu de tristes issues, mais à qui la faute ?
Le NON à certaines propositions de l’Europe par les Français, les Hollandais, les Anglais, etc.
Plusieurs causes expliquent cela :
- L’application inefficace de la constitution
- La réduction des libertés fondamentales
- La mauvaise information
- La non-transparence
- La corruption systémique
- Les scandales
- Les lobbys et leur ingérence aux affaires d’états
- Les hauts salaires des fonctionnaires
- La mauvaise gestion de l’immigration
- Le népotisme
- Le favoritisme
- La montée du nationalisme à cause des erreurs politiques
- L’insolence des politiques vis-à-vis des citoyens
- L’incohérence des décisions européennes au niveau de la TVA et des aides nord-sud de l’Europe ont creusé l’écart entre les européens - Ex. les PIGS
- Le contraste entre la technicité du langage politique
- La méconnaissance des politiques sur la complexité des problèmes et leur incapacité à donner des solutions rapides et pertinentes
- La simplification des difficultés dans les discours politiques accompagnée d'effets de dramatisation
- L'écart entre les promesses électorales et leurs réalisations
- L’opportunisme politique à l’intérieur des gouvernements pour le partage du pouvoir
- Les injustices sociales
- L’écart des richesses entre riches et la population active
- Le fiasco bancaire
- La perte de confiance envers les politiques et les banquiers
- Les tribunaux internationaux d’arbitrage (la main de fer des lobbys)
- Les médias dirigés
- La présentation biaisée des enjeux par les médias
- L’instantanéité de la communication des informations et la lenteur de la prise de décision par les responsables politiques
- La crise géopolitique
- La mauvaise gérance de la covid 19
- La faiblesse des CE d’appliquer leurs décisions aux états concernés et le manque d’audace de s’affirmer sur le plan international
- Les retraites
- La faible solidarité des pays de la CE
- Les clans
- La répression
- L’insécurité du citoyen
- La diminution des libertés
- La privatisation des ressources naturelles
- La valeur boursière des matières premières
- La mondialisation
- Le climat
- L’ingérence des énergies
- L’éducation partiale
- La sécurité du citoyen
- Le wokisme, c'est-à-dire l’oppression discriminatoire systémique des citoyens par la caste intellectuelle des politico-économistes
- Les débris spatiaux et le manque d’un organisme régulateur
- L’intelligence artificielle et le manque de débats politiques pour une bonne gestion
- L’eugénisme
- L’atteinte des objectifs politiques à tout prix au détriment des intérêts des citoyens
- Le manque d’efficacité dans les actions politiques
- Le manque de visions réalistes à long terme, de la part des politiques perdus dans le dédale administratif
- Des institutions politisées, dirigées et corrompues
- La non-réalisation de la réforme des institutions européennes
- L’absence d’une cour constitutionnelle indépendante en relation avec la consultation citoyenne pour le respect de la constitution et de la loi
- Syndicalisme politisé
- LE MANQUE DE LA CONSULTATION CITOYENNE
Ces raisons et bien d’autres renforcent la raison pour laquelle il est nécessaire que le référendum citoyen non politique tel qu’il est proposé par « PNICA » soit uniquement une consultation des citoyens qui ne disent pas simplement NON aux propositions des lois, mais plébisciter, sans violence, des solutions réalistes, dans le but d’éviter les violences sociales dû au mécontentement des citoyens.